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 Müchao Flinks

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MessageSujet: Müchao Flinks   Müchao Flinks Icon_minitimeDim 28 Oct - 20:58

Nom: 'Lapaduza" (garder de l'époque où elle était humain) s'en est donné un autre "Flinks"

Prénom: Müchao

Âge: 134 ans

Grade: Soldat

Division souhaitée:

Monde d'affectation: Monde des humains

Race: Hollow

Nom de l'arme (ou marionette): /

Physique:

Mesurant environ 1 mètre 60, elle est de taille mince, on pourrait même dire svelte. Elle est vêtu d'un long T-shirt à manches longues, blanc cassé, qui leur arrive jusqu'à mi-cuisse et d'un pantalon de style militaire pourpre et carmin qui se coupe à mi-mollet.
Se qui la caractérises physiquement est la forme de leurs pieds, qui ressemble aux pattes antérieurs des loups, ses mains dont l'articulation de chaque phalange comporte un renforcement en os (visualisez des bagues armures), une longue queue serpentine et enfin, les arrêtes constituants sa colonne vertébrale se sont allongés pour formés comme des ailes basses déchiquetées dans son dos.
Son corps est divisé en deux parties mégèrement dissociées, celle de gauche reprend, dans l'ensemble, les traits d'une femme d'environ 24 ans, tandis que celle de droite rapelle ceux d'un jeune homme de 16 ans.
Ainsi son visage est très singulier à observer. Ses cheveux d'abord, d'un coté, tombant jusqu'à son épaule, d'un roux pâle, presque brun et de l'autre , s'arrêtant à la moitié du cou, coupés relativement court, en bataille, d'un brun fonçé.
Ses sourcils et ses yeux ensuite, l'un long et fin, l'autre court et en petit accent, le premier grand aux cils longs, laiton, et le second allongé à l'iris imposant, bleu. Le point commun étant un regard clair et peiné, presque toujours emprunt d'une note de désespoir.
Le nez et la bouche, comme si la biologie de symbiose avait elle-même trouvée que cela eut été trop, sont semblables et donnent des ensembles unis et séparés. Le dernier détail est d'une part, le tatouage vert émeraude en arabesque qui souligne agréablement la forme féminine et d'autre part, le fait que le masque qui recouvre son visage déscendent dans la peau du cou en flammes inversées.

Histoire:

Je suis morte le jour de ma naissance.

La première chose que je vis, ce fut mon corps, que je surplombait sans bruit, et la première chose que j'entendit furent les pleures de ma mère auquels ce mêlaient ceux de mon frêre tout juste né.

A l'époque cela ne me marqua pas, mais c'était moi que cette femme tenait serré dans ses bras sans s'occuper de mon jumeau.

Je restait de longues journées ainsi, flottant près de ma mère qui s'occupait de celui qui vivait. Déjà, mon cerveau commençait à se développer rapidement. En effet, quand on n'a pas besoin de s'occuper réellement de l'évolution de son corps, notre esprit s'éguise plus rapidement. Et je voyais que quelque chose n'allait pas... Je n'étais pas encore apte à déterminer ce que c'était, mais au moins je le ressentait.
Les semaines passèrent, puis les mois.

Je regardais mon frêre, Slovan, grandir et l'accompagnait secrètement, apprenant en même temps que lui la parole et l'écriture, quoique cette dernière plus difficilement. Il était prometteur et j'écoutais, aussi fasciné que lui les récits sur nos ancêtres que contait notre père.

Pourtant, mon malaise perdurait. Je put le définir quand nous atteignimes l'âge de 6 ans, et ce ne fut pas de la plus agréable des façon. C'était le soir et papa n'était pas encore rentré du travail, réunion d'entreprise oblige, nous étions tout les deux dans la chambre. Ce qui est bien avec les jeunes enfants c'est qu'il peuvent entrapercevoir les esprits, du coup mon frêre arrivait à jouer avec moi parfois.

Puis notre mère est arrivé. Elle, elle ne pouvait pas me voir. Slovan la regarder comme un enfant regarde sa maman, innocemment, elle s'est penchée, à passer sa main dans les cheveux courts et noirs... Et elle a essayé de l'étrangler, viollement, elle murmurait en même temps.

"C'est parceque tu es un assassin.. Tu comprend n'est ce pas ?
-Arrête...
-Ta soeur n'avait rien fait pour que tu la tue...
-...Ma...man."

C'est la que j'ai réagit, le temps que l'absurdité de la situation arrive à mon esprit. C'est d'ailleurs la seule fois que cette femme me vit, quand je cherchais à lui faire retirer ses doigts de la petite gorge. Elle a ouvert de grands yeux et c'est reculée, horrifiée. Puis elle est sortie en courant et moi je suis resté à coté du petit vivant qui toussait et pleurait, sans avoir vraiment compris ce qui venait de lui arriver.

Cet évènement n'est jamais venu dans un conversation, jamais avoué, jamais reperpétré. Slovan était trop jeune pour qu'il lui reste en mémoire, je suis là seule à en garder le souvenir.

Ma mort avait laissé une trace visible sur les êtres qui constituaient ma famille. Pourtant, mon existence n'était jamais évoquée. Et les années continuèrent de s'écouler sans évènement notable...
_____________________________________________________________
Jusqu'à un 3 Aout ensoleillé, en début d'après-midi où vint au monde Abel.
Un petit bout d'homme aux cheveux noirs, que je contemplais avec mon jumeau, alors âgé de 16 ans, un grand sourire aux lèvres. Papa et maman était ravis, et la vie reprit, malgré les pleurs toutes les nuits pendant des mois et l'éducation d'un enfant, ce à quoi la maison n'était plus habituée.

Nous n'étions pas croyant, donc j'ignorais pourquoi le nom de ce nouvel être était si lourd de sens. En effet, il avait été ainsi nommé en référence à un passage de la Bible où deux frêres Cain et Abel, ayant fait des offrandes à Dieu, ne furent pas récompensés au même titre et Cain tua Abel et devint le premier assasin de la Terre... Comment ne pas comprendre où se trouvait l'image de cain dans la maison ?

Huit ans s'écoulèrent pendant lesquels toute l'affection d' Hélya se porta sur notre cadet, qui d'ailleurs adorait son ainé. Mais lorsque ce dernier atteint l'âge de 24 ans il fut mit à la porte, balayé de notre famille du jour au lendemain sans comprendre pourquoi, ni comment. Il travaillait dur et n'avait jamais causé d'ennui, je comprenait amèrement que la souffrance que sa présence provoquait chez notre génitrice n'avait fait qu'enfler.

Les quatre années suivantes furent très dur. J'errais de la maison familiale au petit appartement de mon jumeau qui n'avait plus de penser et d'énergie qu'il ne consacra pas à comprendre. Je ne pouvais pas l'aider. Il ne me voyait pas. Et de l'autre coté, la situation n'était pas vraiment meilleure, Papa ne voulait pas qu'Abel soit coupé de son frêre et en face de lui il trouvait la volonté inébranlable d'oublier tout bêtement l'existence de ce dernier.

Finalement tout ce dénoua un nuit. Les démarches administratives qu'avait entreprit Slovan avait enfin marchées. Il était sous le choc et se précipitait chez nos parents. Moi, je courait à ses cotés, je lui parlais, ça ne servait à rien je le savait bien, mais j'essayais quand même. De lui expliquer ce qu'un froid morceau de papier ne pouvait exprimer, de le calmer aussi... Il ne savait même pas encore qu'il avait une jumelle, seulement qu'une personne de notre famille était morte le même jour que sa naissance.

Puis il y a eu cette route.

Ce feu qui n'était pas de la bonne couleur et lui qui n'y a pas prêté attention...Et le camion.
_____________________________________________________________
Il était mort.

Je n'ai pas osé me montrer à lui dès le début. Il était trop perdu, trop dérouté... Et moi j'avait trop peur de sa réaction.

Je me suis caché, l'observant de loin. Cette situation à durée quelques mois. Puis il a assisté à une dispute entre notre père, qui s'en voulait, et notre mère qui continuait à employer les termes "d'assassins" et "meurtriers" à tout bout de champ. C'est là que son âme c'est brisé, il s'est transformé si vite que je n'en garde qu'un souvenir flou, comme d'un cauchemard particulièrement prenant. Et il les à tous tués, dévorés en à peine quelques minutes, moins d'une heure.

Je n'ai rien fait. Je n'ai pas bougé de ma cachette et je l'ai vu partir, couvert de sang, riant comme un démon. Encore quelques minutes furent nécessaires avant que je ne me remette à bouger. Je regardait les cadavres, quand je vis celui d'Abel bouger.

Il était en vie ! En vie !

Je me précipitais et comprit qu'il allait disparaitre. Son âme était en lambeaux, agonisante. Mais je ne voulais pas laisser partir ce frêre, pas comme je venais de voir partir l'autre. Je n'avais pas le choix, il allait mourir.

Je dévorais son âme, la faisant fusionner avec la mienne.
Et me transformait en hollow. C'était atroce et je sentait qu'il souffrait autant que moi. Puis aussi vite que la douleur était apparut, nous nous retrouvames seuls. Enfin, je me retrouvais seule.

Il nous fallut plusieurs heures avant de comprendre comment cohabiter dans ce corps et plusieurs semaines pour refaire connaissance et apprendre à nous comprendre. Mais une chose s'imposa à nous.
Personne n'avait à se déchirer ainsi.

Je partit avec cette volonté au coeur.
_____________________________________________________________
Plusieurs années se passèrent et j' apprenait petit à petit à lutter contre la faim dévorante et contre mes semblables. Un jour cela arriva sous les yeux d'un shinigami, créature que je n'avait encore jamais eut l'occasion de rencontrer.

"Pourquoi un hollow affronte-t-il d'autres hollows ? Et surtout pour protéger une âme humaine ?
- Les humains ne méritent pas de souffrir...Et j'ai trop souffert en tant qu'humain pour ne pas me sentir concerné. Pouvez-vous le comprendre ?"

Je restais plusieurs mois avec ce shinigami, lui racontait mon histoire, et lui m'enseignait sur le monde spirituelle. Il trouvait suprenant mon système de pensée, mais dans le fond se disait que c'éatit plutôt une forme d'espoir pour mon espèce.

Finalement, il me conduisit à l'institut de l'art spirituelle des humains... Mes actes allaient enfin servir une bonne cause.
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Aime: Nii-san, Les familles heureuses, la fraternité, les mokas et la musique du groupe Aqua et celle de Hyde (xD).

N'aime pas: La douleur, le rap, la vue de la mort et les quincys.

Caractère: D'un naturel très doux, toujours triste et un peu rêveur. Plein d'espoir en l'avenir, surtout celui qu'aucune autre personne qu'elle rencontrera ne subisse les mêmes déchirements qu'elle a rencontré dans sa vie humaine.

Autre: A peur de son frêre malgrè tout l'amour qu'elle lui porte et des autres hollows.
Et si ce trouve à proximiter immédiate de son frêre se met à pleurer des larmes de sang. (réaction incontrolée > idem pour ledit frêre)

Techniques:
"Hurlement de la détresse"
[pes: 10
Dégats: 10]
Müchao pousse un long cri qui résonne à l'intérieur de son adversaire, lui transmettant part le biais des ultrasons de la douleur brute. Celle-ci se traduit par des blessures physiques sur le corps ennemi.

*54 Haien :
Coût en énergie spirituelle : 15
Dégats : 25
Cette technique permet couper n'importe quelle matière grâce à un disque fait d'énergie spirituelle
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