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 Hiro

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MessageSujet: Hiro   Hiro Icon_minitimeMar 8 Juil - 20:37

Nom: Perdu dans les archives...

Prénom: Hiro

Âge:19 ans

Grade: Lieutenant

Division souhaitée: Division 6

Monde d'affectation: Monde Humain

Race: Quincy

Nom de l'arc: Seijaku

Description Physique: Hiro est un jeune homme plutôt grand et mince, le teint blaffard accompagne à la perfection ses longs cheveux blonds, presque blancs. Il n'est pas très musclé, mais dispose toutefois de quelques ressources... Les traits de son visage sont plutôt banals, un nez fin, mais ses yeux sotent du commun. Tout d'abord, ils sont vairons. Le premier est bleu métallisé, et le deuxième est si foncé qu'un observateur peu avisé pourrait le croire noir. On peut apercevoir une très légère cicatrice sous son oeil gauche, due à son premier affrontement avec un hollow.
Hiro porte le plus souvent un long manteau d'un bleu très profond, presque noir, orné de motifs de dragon bleu. Ce manteau dispose d'un grand col renforcé... Il porte parfois un manteau blanc pur dans le même style. Il porte des jeans élimés, ou encore des pantalons de costard noirs ou gris...

Caractère: Hiro est plutôt flegmatique, calme, très patient. Il ne montre jamais ses émotions, car il n'aime pas être la cible de la pitié des autres, et se montre toujours joyeux.Il adopte en général un caractère neutre vis-à-vis de toute chose, sauf quand celle-ci le concerne directement, ou qu'il y attache un tant soit peu d'intérêt. Il se montre en général plutôt sociable, mais jamais chaleureux avec les personnes qu'il ne connaît pas encore. Pour finir ce tableau, il déteste se faire marcher sur les pieds, et aime par dessus tout l'indépendance et la liberté...

-Histoire-



Ne te retourne pas, continue et persévère... Plus que des mots. Une devise, un principe. Un pas en avant, deux pas. Aucun recul, pas de chute, pas de peur. La méthode. Le flegme.
Depuis le début, je le sais. Je le sais , et je n'ai pas le choix. Bien que nous ayons tous notre destinée de tracée, il y a des choses qui nous font douter.

* N'est-ce pas, nee-san? *

Depuis plusieurs jours, déjà, tu m'as quitté, abandonné, laissé comme une proie, comme une offrande aux dieux cruels d'ici-bas... Tant de solitude, depuis que le grand appartement ne résonne plus que du bruit doux du ventilateur... La cave. Je visite de plus en plus cette grande cave que longtemps tu m'as cachée... Les armoires et les bibliothèques sur les murs m'émerveillent. Tant de choses à lire, pour si peu de temps à vivre... Mais non. Décidément, je n'ai pas le choix. Je dois vivre, et pour cela, je ne dois plus me cacher, me voir comme une aberration. Ce talent et cette passion pour le tir à l'arc, un talent et une passion familiales. Pourquoi nous l'avoir caché tout ce temps? Ce n'est pas une tare, c'est un héritage...
L'héritage Quincy. Depuis que les parents sont partis en t'emmenant avec eux, je sais que si je veux flotter dans des eaux claires, je dois le maîtriser, je dois pouvoir développer cette puissance héréditaire... Le trait de ma famille, au nom oublié depuis des décennies....

-Hiro!

Le cri résonne dans ma tête. Je ne suis plus dans la vieille cave sous l'appartement vétuste. Je suis dans cette belle maison de campagne que nous avions, quelque part, je ne sais plus... Je ne sais plus... Et toi, nee-san, toi qui prenais tant soin de moi, je te revois, avec cette belle corne d'ivoire aux formes épurées qui te servait d'arc. Je te revois viser cette cible que Père avait fabriqué pour nous. Mais que Mère nous interdisait d'utiliser. Nous savions bien tirer à l'arc. Depuis tout petits, nous affinons ces dons. Mais nous ne savons pas.
Nee-san me sourit.

-Regarde bien, Hiro! Une flèche dans le mile, on parie?

Les yeux de Père, debout à côté de sa chère fille aînée, étincelle comme lors d'un matin de Noël. On pourrait dire que c'est Noël pour lui. Il sait. Il sait très bien ce que nous sommes puisque lui-même nous a donné ses gènes. Lui même. Nee-san se retourne. Regarde la cible, et vise en plein centre. Père s'approche d'elle , lui glisse un mot à l'oreille. Puis tout s'enchaîne. Le trait part, entouré par de fins éclairs bleutés. La lumière s'éteint.

-Foutue cave...

Maugréant, je remonte dans la salle. Tout est plus vide, et tout ici me donne la nausée. Ça ne fait que dix ans, somme toute, que mes parents sont venus ici nous y enterrer. Et ça ne fait que dix heures que je suis seul, pour une raison que mes parents sont les seuls à connaître. Mon expression flegmatique ne quitte pas mon visage, alors que je traverse l'appartement. Ma chemise blanche n'est pas tachée, et je la recouvre de ce grand manteau de cuir que j'ai trouvé il y a quelques années dans le grenier de cette vieille maison de campagne, quelque part, n'importe où.
Les épaules recouvertes de ce manteau à poches immenses, je passe prendre Seijaku. Mon compagnon de toujours, silencieux mais souriant. Depuis quelques années, je travaille, main dans la main avec toi, qui est désormais l'être le plus proche de moi. Ce vieux hangar désaffecté, je l'ai racheté avec l'argent de la maison de campagne, que les parents ont abandonnés sans mot dire. Si loin, elle ne m'était d'aucune utilité.

Je pousse la porte monumentale de ce grand hangar du début du siècle. Poutrelles et caisses jonchent le sol... Une muraille de caisses cache l'accès à l'arrière du hangar, qui deviendra sûrement mon lieu de vie privilégié... Il est déjà aménagé. Le canapé, un mac, un frigidaire... Et le plus important. Ces grandes cibles en bois de chêne monumental, déjà éraflées de multitudes de traits, et déjà brûlées à de multiples endroits, par le feu froid, glacial, et silencieux surgissant de Seijaku. Je bande à nouveau le grand arc, couleur d'enfer. Le trait a tellement été travaillé toutes ces années... Je deviendrai bientôt un Quincy, qui n'aura pas honte de porter sa majuscule. La cible est perforée, tombe au sol. Les traits gagnent en puissance, et en netteté, en finesse toujours. Telle une aiguille, la flèche d'énergie Quincy pénètre le bois, écartant tout en douceur les molécules, et le traversant avec aisance. La flèche va mourir contre le mur en tôle du fond.

* Oups... Je devrais penser à la tenture...*

Quand le soleil se lève sur la ville , je suis affalé sur ce grand canapé élimé, épuisé... La formation est dure, mais porte ses fruits... Mes yeux se ferment malgré eux. Je suis.... Vidé...

Bon anniversaire, nee-san. Tu n'est pas là, mais comme toujours tu est là. Ou est-tu? Aujourd'hui, j'ai lu. Aujourd'hui, je me suis renseigné, à l'aide de vieux rouleaux et ouvrages issus de la Soul Society. Le hollow. Le gros méchant de base. Et toi, nee-san? Comment les traites-tu, ces hollows? On ira faire un tour en ville , toi et moi. Toi dans ma tête, moi sur mes épaules. Seijaku pour compléter le trio. Et nous ouvrirons la chasse. Je dois bien me divertir, maintenant que je suis seul!

J'aime la nuit. Cette chape noire qui m'entoure, m'isole du monde. La nuit qui coule entre mes longs doigts, et qui dévore la lumière. Un univers de silence, d'isolement, de solitude. Je marche dans la ruelle sombre, entre les spacieuses maisons de cette ville que je ne connais plus. Moi, Quincy. J'utilise la majuscule. Je maîtrise dans les grandes lignes mon pouvoir, et ce soir, je désire m'exercer.

* Nee-san, regarde moi ce soir. Comme moi je t'ai regardé la première fois que tu m'as montré ton pouvoir... *

Les ruelles de la ville, pour tous, semblent désertes et silencieuses. Mais pour moi, elles sont dangereuses. Je croise des esprits, de temps en temps, mais aucun ne m'adresse la parole. Ce vieux livre, qui explique la fonction d'un Shinigami, je l'ai lu jusqu'au bout. Ainsi que celui sur l'histoire des Quincy, sur les Hollows. Maintenant, je connais ce monde à la marge du monde réel. Non pas que je ne le connaissais pas. J'ai toujours vécu en équilibre sur la frontière de ces deux mondes. Maintenant , la frontière est ouverte. Ces esprits ne me parlent pas, car ils ne soupçonnent pas le fait que je peux les voir. Je les regarde, j'y fais attention. Souvent, ils courent , s'enfuient, on l'air terrorisé. Mais je n'ai toujours croisé personne cette nuit.

-A l'aide!

Un petit garçon passe à coté de moi, en criant ces mots. Je le regarde alors d'un air sympathique, enfin, de l'air que j'affectionne et que j'adopte le plus souvent. Ne jamais laisser filtrer ses sentiments, on se fait piéger par eux. Depuis des années, je suis heureux toute la journée. En apparence bien sûr.

-Arrête toi, petit. Qu'est ce qui te tracasse?

Le gamin se retourne ,et me fixe d'un air triste. Ses cheveux noirs coiffés en pics portent une rose rouge, et il porte une veste noire sur un jean. Son visage creusé fixe intensément la chaine qui sort de sa poitrine... Il n'en dit pas plus, mais me regarde intensément.

-Un Hollow... Aidez-moi, s'il vous plaît!

Puis il prend à nouveau la fuite, alors qu'un cri étrange, mélange d'aboiement et de hululement, se fait entendre. Je me retournai alors. Derrière moi se tenait cette créature que j'avais étudié sous toutes ses coutures. Celui-ci n'échappait pas à la règle. Un grand corps de teinte terne, et un masque blanc. Son corps était long, éffilé, et son masque représentait à première vue un chacal. Grossièrement représenté bien sûr...

-Recule, s'il te plaît. Laisse ce garçon tranquille, et rentre chez toi.

Je regarde le hollow, d'un air plutôt sympathique. Aucune haine ne filtre, aucune colère. Le hollow éclata alors d'un rire profond et se tourna vers moi.

-Tu n'est qu'un humain... Que peux tu face à moi? Rentre chez toi! Je suis un démon, je hante les villes et dévore les hommes. Laisse moi déjeuner en paix, et tu vivras...

Il avança vers moi un de ses larges avant-bras larges comme un tonneau dans le but évident de me broyer entièrement. Je ne lui en laissai pas l'occasion. Seijaku bondit entre mes mains, et plongea ses traits fins dans l'avant bras-du hollow....

J'ouvre les yeux. Deux jours déjà que j'ai arrêté ce hollow. Et deux jours que je cicatrise, et que je me repose. Il était peut-être un peu fort pour moi... Qu'aurais-je fait si je n'avais pas eu assez de force spirituelle? Je serais probablement mort... Le hollow avait détruit la chaussée de la rue, et quand il s'était effondré, je l'avais suivi. M'étais évanoui. Je devais en tirer les enseignements, savoir désormais que s'attaquer à plus fort que moi pouvait s'avérer dangereux. Mais c'était tellement divertissant, tellement amusant. Une poussée d'adrénaline que je ne pouvais affecter. Décidément, cette vie me plaît bien... Mais que ferais-je toute ma vie, à part tuer du hollow? Cette vie si marrante soit-elle manque tout de même un peu de piquant... Je vais partir en quête de personnes semblables à moi... Et si le destin le veut , je croiserai un Shinigami. On verra bien si la haine séculaire entre ces deux espèces est toujours d'actualité.
Tant de choses à vérifier, tant de jours à tenir... Armons nous de courage...


-------------------------


Aime: Ma grande sœur, bien que je ne la connaisse pas énormément, et bien que je l'aie perdu de vue. Les glaces à la vanille, seul en haut d'un immeuble. Les excentriques.

N'aime pas: Les personnes trop droites, trop carrées. Mes parents. Le trou au niveau de l'épaule de mon manteau. La cave...


Autre: J'affiche parfois des tendances légèrement schizophrènes, mais elles ne sont jamais importantes. Je dialogue souvent avec moi-même. Avec Nee-san, pour être plus précis...

Techniques:


Techniques à l'arc :

Mon arc se présente sous la forme d'un long arc en bois d'ébène, nervuré de rouge-orangé... Il mesure à peu près un mètre vingt.

Forme normale: Seishuku. Seijaku tire des flèches d'énergie Quincy bleutées, relativement courtes, mais à une cadence assez élevée.

Forme Shikai: Kazetanken. Le corps de Seijaku s'affine, mais reste tout aussi sobre qu'auparavant. Les flèches s'allongent, s'affinent, et gagnent en vitesse et en netteté de tir.

Forme Bankai: Odori No Chinsei. L'arc ne change aucunement pour son corps, cependant, il pare le corps du porteur d'un magnifique gantelet ouvragé, de couleur noire, et couvert de rouille. Les flèches se démultiplient et ne font plus aucun bruit dans l'air, silencieuses et effacées...


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